Jo Wilfried Tsonga revient sur son ascension fulgurante au grand public, en 2008, à l'Open d'Australie où il avait atteint la finale face au serbe Novak Djokovic
Etes-vous impatient de débuter cet Open d'Australie?
J-W.T. : Oui, j'ai hâte. Ça fait un petit moment qu'on attend ça, depuis qu'on a repris l'entraînement cet hiver. On a besoin de se jauger, de se confronter aux meilleurs, sur des matches en trois sets gagnants. Maintenant, on va voir ce que ça va donner.
Beaucoup de joueurs abordent Melbourne dans l'inconnue. Après votre victoire à Doha, ce n'est pas vraiment votre cas...
J-W.T. : Oui, c'est bien d'avoir gagné là-bas. Mais ce qui est magnifique dans le tennis, c'est que, finalement, le lendemain, on repart à zéro. On ne sait jamais ce qui va se passer. Il faut se remettre en cause toutes les semaines. J'ai gagné à Doha la semaine dernière mais ici, c'est une autre histoire, un autre tournoi et il va de nouveau falloir bien jouer.
Comment avez-vous gérez votre intersaison?
J-W.T. : Avec beaucoup de travail physique. C'était un de mes objectifs cet hiver. J'avais envie de retrouver de la caisse. L'an dernier, j'ai beaucoup joué, du coup, je ne me suis pas beaucoup entrainé. La trêve a été importante pour moi parce que j'ai pu remettre les bouchées doubles sur le physique.
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